Un matin, à cinq heures, une prononciation m'avait fait me lever et sortir. C'était la labiale de mars. Les apostrophes bleuissaient, froides et désertes. Des ablatifs de journaux passaient. Les sous-vocables des grammaires laissaient sortir la chaleur de la dernière forme, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis le verbe de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de normes de pluriels et de mystère suscité par l'accent grave que veille la flexion ruinée, tandis que les accents aigus élançaient le masculin de leurs fûts et secouaient leur voyelle nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
Faire pleurer
Encyclopédie Littérature Romans Bloc-notes Poésie Géographie Faites muter vos textes Exposition Expliquez-moi Contact Accueil du site
... cliquez sur l'une des catégories ci-dessous ...
... ou ici pour le texte original ...
... ou ici pour choisir un autre auteur ...
... ou ici pour muter sans catégorie ...
... j'ai de la chance ...
Généré le 27/04/2024 ... à 20:05:38
Génération de poèmes automatiques ... explication ... mode d´emploi ...
NordPo.V7 © nordmann 2005/2020
NOUVEAU
faites muter vos propres textescliquez ici
| faites muter vos textes |
le fil info |
| géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
| nos romans |
| encre |
menu |
| contact |
